
Je me chatouille en groupe, j'avale des gorgées, je mesure l'écart à l'intérieur du mur, j'appuie sur le délire et roule la galère
J'irrigue le champ foncé de ma stupidité, je les arrose de barbe à papa, je déflore le jardin, j'avance et je vide le chemin
Oh défie-moi de me voir de près, touche moi le nez du bout du pied, je distribue tes sens par ordre de grandeur
Et le goût te reste en dernier
Je Café
2 commentaires:
Joli, je cherchais de quoi tu parlais :p
pas la même lecture la 2ème fois
Heiiin ? De quoi j'ai parlé o_O ?
Enregistrer un commentaire